Nos revenus d’abonnement ont crû de 843 000 € en 2020, soit une progression de 36% par rapport à 2019. Notre meilleure année. 😀
Notre croissance s’est cependant ralentie sur les deux derniers mois de l’année. Un effet du Covid-19 ? Nous nous étions fixé un objectif de croissance d’un million d’euros, nous finissons 16% en-dessous. 😕
Nous avons mis 4 ans pour arriver au premier million d’euros de revenus, 2 ans pour le deuxième, et 13 mois pour le troisième. Installer une nouvelle espèce de journal prend du temps. Mais quand ça décolle, ça décolle !
5,4% de la valeur des contrats d’abonnement à fin 2019 a été résiliée pendant l’année 2020. Mieux que l’année précédente, même si les derniers mois de 2020 ont vu ce taux d’attrition remonter. Cette remarquable fidélité nous oblige, nous encourage et nous enthousiasme.
663 organisations sont abonnées à Contexte fin 2020, soit 184 de plus qu’un an plus tôt. 6 000 personnes ont un compte individuel payant. Élus et collaborateurs d’élus, dirigeants d’entreprises ou d’associations professionnelles, responsables d’affaires publiques et de plaidoyer, consultants, avocats, fonctionnaires européens, nationaux et territoriaux, collaborateurs d’autorités indépendantes… Quelle fierté d’être lus au quotidien par ceux qui font la politique !
Pour la première fois, en 2020, nos 4 éditions les plus anciennes (Énergie, Numérique, Transports, Pouvoirs) sont rentables ! 🥳 Elles ont généré un excédent brut d’exploitation hors subventions de 241 000 €.
Pourquoi hors subventions ? Parce que celles-ci ne sont qu’un mode de financement de nos investissements, respectueux de notre indépendance tant que nous pouvons nous en passer. Pas un modèle économique.
Cette rentabilité hors subventions est indispensable au maintien de notre indépendance. Elle nous permet d’investir sur de nouvelles éditions (Agro, la cinquième, lancée en 2019) et de nouveaux services (Scan, lancé en 2020) tout en restant indépendant — 96% du capital de l’entreprise appartient à l’équipe.
Depuis mars, nous suivons les réglementations sanitaires. Ce qui veut dire que nos bureaux parisien et bruxellois ont été fermés une bonne partie de l’année, sauf pour quelques situations particulières. Vous dire qu’ils sont d’habitude des ruches vibrionnantes vous montre l’ampleur du défi !
Heureusement, notre culture favorise l’autonomie —en bons geeks politiques que nous sommes, nous appelons ça le management par subsidiarité. Heureusement, nous étions déjà rodés à des discussions internes écrites et organisées par thématique. Mais la suractivité législative de 2020, notamment lors du premier confinement, nous a mis à rude épreuve.
Certains métiers (journalistes) sont moins faciles à réaliser depuis chez soi que d’autres (développeurs, produit, commerciaux, marketing, administratif). Certains s’accommodent très bien de travailler de chez eux, d’autres souffrent d’un isolement imposé prolongé, d’autres enfin ont accéléré leur déménagement loin de Paris. Tous, nous avons hâte de pouvoir nous retrouver, pour s’engueuler de vive voix comme pour fêter notre plaisir de travailler ensemble.
Dès mars, le choix a été fait de ne pas recourir à l’activité partielle et de poursuivre notre stratégie de croissance. 12 recrutements ont été réalisés en 2020, la plupart intégralement en visio. 4 départs ont eu lieu, dont notre premier départ en retraite !
Nous lancerons début mars notre sixième édition, Environnement.
Une évidence ! Entre le Green New Deal et la Convention citoyenne, les politiques publiques de l’environnement sont structurantes pour presque tous les secteurs d’activité. On ne change pas une équipe qui gagne : les journalistes experts se répartiront entre Paris et Bruxelles, pour un nouveau briefing quotidien dédié. Intéressé ? Envoyez-nous un email à essai@contexte.com.
Notre logiciel de veille de l’activité parlementaire poursuit son développement. Cette semaine, nous lançons une fonctionnalité d’alerte par mot-clé, très demandée par les abonnés. D’autres améliorations suivront tout au long de l’année.