Qu’en retenir ?
Ces revenus ont cru de 430 k€ sur l’exercice. Cette croissance se répartit sur toutes les éditions.
En 2019, nos revenus venaient pour 99% des abonnements et pour 1% des cessions de droits (à des intermédiaires comme des agrégateurs ou prestataires de revue de presse).
La ligne de revenus notée “collocation” correspond à la facturation d’espaces de travail inutilisés au sein de nos bureaux. Par souci de clarté, nous la considérons comme une moindre charge, et l’excluons de la répartition des produits ci-dessus.
Après une année 2018 bénéficiaire, le résultat net a été déficitaire en 2019, de 150 k€.
Cette diminution de notre rentabilité comptable s’explique essentiellement par un “investissement” non amorti (le lancement de l’édition Agro en juin 2019, avec un impact négatif de 183 k€ sur le résultat net), et une baisse des subventions (de 177 k€).
L’excédent brut d’exploitation (EBE) hors subvention est l’indicateur de rentabilité qui retient le plus notre attention. En effet, les subventions ne font pas partie de notre modèle économique, mais ne sont qu’un mode de financement de nos investissements. Cet EBE enregistre une perte de 305 k€ en 2019, soit une diminution de 128 k€ par rapport à 2018.
Cependant, cette perte est en trompe-l’œil. Nos 4 éditions les plus anciennes ont amélioré leur rentabilité de 50k€ (EBE hors subvention). A contrario, la nouvelle édition Agro et les travaux sur Scan ont eu un impact négatif sur l’EBE hors subvention de 277k€.
Un état à jour des intérêts de l’entreprise (dossiers de subvention en cours, endettement, actionnariat, principaux clients, etc.) reste toujours disponible.
Ah ah ! Et bien le rythme de croissance s’est sacrément accéléré. Nous vous en dirons plus à la rentrée…
Consultez le bilan et le compte de résultat 2019.